Société John Howard de Kingston et son District

À propos de la SJH

Notre mandat

Des réponses efficaces, justes et humaines à la criminalité et à ses causes.

Valeurs directrices et principes

La Société John Howard :

  • encourage le développement d’attitudes favorables à la responsabilisation personnelle de la part des individus qui ont été en conflit avec la loi ;
  • estime que chacun a le potentiel de devenir un citoyen responsable à part entière ;
  • s’engage à faire connaître les besoins et les enjeux de la justice pénale auprès du public ;

  • encourage tous les citoyens à s’impliquer dans la mise en œuvre et la gestion des services correctionnels ;
  • met en avant un modèle de justice réparatrice et s’engage à appliquer ce modèle à ses propres activités ;
  • promeut des activités porteuses de sécurité et de bien-être pour la communauté .

Philosophie de la SJH portant sur les services correctionnels

Qui est John Howard?

John Howard, un Anglais du 18e siècle, fut promu au poste de shérif de Bedford, fonction qui l’amenait, entre autres, à inspecter les prisons locales. Peu de shérifs prirent la peine de s’acquitter de cette tâche, mais John Howard se distinguait du lot. Choqué par la corruption, les odeurs infectes, l’insalubrité, la faim et la maladie qu’il observa dans les prisons, il consacra sa vie à améliorer les conditions d’emprisonnement en Angleterre, au pays de Galles et en Europe continentale. Son célèbre rapport intitulé De l’état des prisons en Angleterre et au pays de Galles entraîna l’adoption de lois pour lutter contre les maux aberrants du système, et mobilisa graduellement l’opinion publique en faveur de conditions carcérales plus humaines.

Notre histoire

L’histoire de la Société John Howard commence en 1867, lorsqu’un groupe de travailleurs paroissiaux tenta d’alléger les peines spirituelles des détenus de la prison de Toronto.

En 1874, ce petit groupe adopta le nom de « Prisoners Aid Association of Toronto ». Le groupe comprit rapidement qu’une aide spirituelle n’allait pas suffire aux prisonniers, mais l’intérêt pour cette question diminua pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918). En 1929, un groupe citoyen mené par le chef de la police de Toronto, le général Draper, raviva la cause des prisonniers sous l’égide de la « Citizens Service Association ». Cette organisation bénévole se fixa comme objectif d’apporter une aide concrète aux anciens prisonniers, en ce qui concerne le logement, les vêtements et l’emploi.

En 1946, la Citizens Service Association de l’Ontario changea de nom pour devenir la Société John Howard de l’Ontario. Entre 1947 et 1960, la majorité des provinces se dotèrent d’une Société John Howard.

Il existe maintenant de nombreuses filiales et de nombreux bureaux à travers plus de soixante communautés canadiennes. Les bureaux provinciaux sont répartis dans dix provinces et Territoires du Nord-Ouest, et le bureau national est établi à Kingston, en Ontario.

En 1962, la Société John Howard du Canada se constitua en tant que fédération de sociétés provinciales et locales, composées d’individus dont l’objectif est de comprendre et de répondre aux problèmes que pose le crime, de réviser, d’évaluer et de promouvoir le changement au sein du système de justice pénale et, enfin, d’engager la discussion avec le public en matière de conditions carcérales, de droit pénal et de ses applications.

La vocation initiale des fondateurs de la Société John Howard était d’aider les hommes sortant de prison. Les activités des sociétés locales se sont développées au fil des ans, même si les services de suivi demeurent essentiels aujourd’hui. À ceci s’ajoutent désormais les services institutionnels, les services à l’emploi, les services aux toxicomanes, les services de logement, les services à la jeunesse, la programmation préventive, les services éducatifs, les programmes d’alphabétisation et d’acquisition de compétences essentielles, les services communautaires et, plus récemment, les services auprès d’individus désignés comme « courant le risque » de participer à des activités criminelles.

La Société John Howard dépend de la participation du public. Tous les niveaux de l’organisation, à l’échelle locale et nationale, sont dirigés par un conseil d’administration bénévole. Les bénévoles sont directement engagés auprès des services conférés par la Société. Nombreux sont ceux qui soutiennent le travail de la Société John Howard sous la forme de dons.

Conseil d’administration

David Williams
Vice Président

Matt White
Trésorier

Antje McNeely
Secrétaire

 

Andrew Reeson
Membre du Conseil

Joe Dart
Membre du Conseil

Mary Jane Kingston
Membre du Conseil

Gouvernance

Julie Parent
Directrice général

Ashley Johnson
Directeur, Service a l’emploi

Julie Langan
Directice, Service de Justice

Jesse Glasspoole
Agent de gestion de cas résidential

Josh Polson
Conseiller de cas résidentiels

Michelle Pantrey
Travailleur sociale

Emma Kuranowicz-Vyse
Superviseure des personnes en liberté / Aide judiciaire

Melissa Noakes
Superviseure des personnes en liberté / Aide judiciaire

Stacey Ison
Superviseure des personnes en liberté / Aide judiciaire

Erik Bodendorfer
Superviseure des personnes en liberté / Aide judiciaire

Brendan Lorimer
Travailleur sociale

Nuray Yilmaz
Chef d’équipe

Jessica Carroll
Prospectrice d’emploi

 

 

Evan Fischer
Coordonnateur finances et administration

Ray Anaya
Prospectrice d’emploi

Debra DeGagné
Conseillère en emploi

Michaela Black
Conseillère en emploi

Julia Hamilton
Conseillère en emploi

Gayla Nesbitt
Agent de conformité

Courtney Lahaie
Conseillère en emploi

Alicia Royce
Conseiller en emploi

Andrew Filipcic
Conseiller en emploi

Brandy Truscott
Conseillère en emploi

Sherrie Gaylord
Conseillère en emploi

Peter Young
Conseillère en emploi

Dhivia Joseph
Adjointe administrative

Caroline Parent
Adjointe administrative

Politiques

À venir

Plan stratégique

Consultez le plan stratégique de la SJH de Kingston pour la période 2014 – 2017

États financiers

Consultez notre désignation d’organisme de bienfaisance CRA/T3010